Bienvenue à tous sur le site de l'association "Ultime Liberté"
Actualité de l'association :
( 2 octobre 2020 )
( Par mail pour ceux qui disposent d'un mail, par voie postale pour ceux qui n'en ont pas )
Le séminaire des 15 et 16 octobre est également reporté à une date ultérieure,
dans des conditions qui seront fixées par le C.A. nouvellement élu
qui prendra ses fonctions à partir du 17 octobre )
En revanche, le vote par correspondance en cours est bien sûr maintenu,
et le dépouillement aura lieu comme prévu le 16 octobre à Nîmes.
Les résultats de ce vote seront donc connus et publiés le 17 octobre.
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Actualité du combat de M. Alain Cocq :
Après 3 jours de souffrances liées à sa décision d' arrêter l'alimentation et l' hydratation artificielles,
M. Alain Cocq décide de permettre à nouveau son alimentation et son hydratation, et de bénéficier des soins palliatifs :
Communiqué AFP du 9 septembre :
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Actualité de l'association :
( 9 septembre 2020 )
Le C.A. de l' association, qui suit de près l'évolution du combat de M. Alain Cocq, publie le communiqué suivant :
" Encore une personne, M. Alain COCQ, qui alerte la société, les décideurs (politiques, médecins et jusqu'au Président de la République)
sur l'inadaptation de la loi actuelle sur la fin de vie à prendre en compte la volonté de celui ou celle qui souhaite échapper à l'agonie des derniers instants.
Que demandait Alain COCQ ?
Il souhaitait mourir chez lui, entouré de ses proches et de ses amis, sereinement en absorbant « la pilule paisible » (du pentobarbital).
Il ne souhaitait pas se rendre à l'étranger où sa demande aurait été bien sûr acceptée.
Suite au refus attendu du Président de la République s'appuyant sur l'état actuel de la loi Léonetti-Claeys, il a donc décidé d'arrêter l'alimentation et l'hydratation comme le lui permet cette loi.
Il souhaite, et ce sera son dernier combat, que grâce à la médiatisation des conditions de sa mort les responsables politiques s'emparent enfin de la légalisation «d'une aide active à mourir comme un soin terminal».
L'association Ultime Liberté soutient le courage du combat d'Alain Cocq et espère que sa médiatisation ouvrira enfin un débat public approfondi concernant la Liberté individuelle reconnue du choix de notre mort."
( fin du communiqué )
Remarque :
La présidente de l'association a pu rencontrer M. Alain Cocq ou communiquer par téléphone avec lui à plusieurs reprises, et s'entretenir également à cette occasion avec des journalistes de différents médias, pour expliciter la position de notre association.
Le combat de M. Alain Cocq, en espérant faire avancer globalement la problématique de la légalisation du suicide assisté et de l'euthanasie volontaire, est celui de l'ensemble des associations qui demandent cette avancée depuis des années ( ADMD, Le Choix, Ultime Liberté, etc... ).
Il ne résume pas cependant les objectifs spécifiques de notre association Ultime Liberté, qui visent avant tout la liberté individuelle de décider de sa propre mort ( Article 1.1. de nos statuts ), quelle que soit la gravité supposée de l'état de santé de la personne, dont elle seule peut juger légitimement si elle est une condition ou non de son choix de mourir. Nous rappelons que nous ne demandons pas, dans le cas général de l'exercice de cette liberté de se donner la mort, à la médecine de décider à notre place si nous sommes suffisamment en mauvaise santé pour pouvoir bénéficier de l'euthanasie ou du suicde assisté comme "soin terminal" . Nous demandons, en tant que citoyens majeurs et capables d'une décision libre, éclairée et réitérée, à gérer nous-mêmes en toute responsabilité une dose létale permettant de nous donner la mort lorsque nous l'avons personnellement librement décidé, dans un cadre juridique laïque qui reconnaisse une telle liberté comme liberté fondamentale du citoyen.
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Actualité nationale :
6 septembre :
La décision de M. Alain Cocq de mourir ...
en respectant la cruauté des conditions actuelles de la législation française sur la fin de vie,
ne cesse d'alimenter les commentaires indignés de plus en plus de citoyens français,
dont la très grande majorité demande depuis des années une loi légalisant le suicide assisté et l'euthanasie volontaire.
Nos représentants politiques seraient-il devenus à ce point impuissants à représenter la volonté du Peuple ?
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Actualité régionale de la vie des antennes :
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Actualité du 24 août 2020 :
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Actualité du 10 aout 2020 :
Alain Cocq devrait être reçu à l'Elysée.
Voir l' émission RMC BFMTV du 10 aout :
Dans les médias, à cette occasion, les mêmes débats sur l'inadéquation de la législation actuelle reviennent ...
comme à l'occasion de chaque cas particulier ainsi médiatisé ...
Exemple : " Fin de vie : pourquoi la loi n'avance pas ? "
sur RMC
Questions : Faudra-t-il que des citoyens de la République laïque se décident à attaquer en justice les responsables du "lobby religieux-médical", dont parle François De Closets dans l' émission,
pour traitements inhumains contraires aux Droits Humains,
dans des cas concrets typiques de souffrances où leur prétention à décider à la place des personnes concernées est directement responsable de cette souffrance non choisie ?
Faut-il aller plus loin encore, et attaquer juridiquement dans une Question Prioritaire de Constitutionnalité les aspects de la législation française actuelle qui restreignent la liberté individuelle de choisir sa mort ?
Restrictions qui pourraient être considérés comme inconstitutionnelles si le Conseil Constitutionnel français décidait, comme cela a été le cas en Allemagne en février 2020, que cette liberté dérive de l'un des droits fondamentaux garantis à la personne ?
La balle est pour le moment encore dans le camp de nos représentants politiques, comme législateurs.
Mais peut-être, comme actuellement dans d'autres pays, ce sera une décision juridique qui obligera le pouvoir politique à bouger ?
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Actualité du 30 juillet 2020 :
Lettre ouverte de M. Alain COCQ au Président de la République
( Télécharger la lettre au format .pdf )
Présidente de l’association Ultime Liberté
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" Qu'est-ce qu'une vie accomplie ? "
Une nouvelle publication de François Galichet
"Ce livre prend sa source dans une enquête menée auprès d’adhérents d’Ultime Liberté détenant le moyen de quitter la vie sans douleur ni violence.
J’avais déjà communiqué le compte-rendu de cette enquête lors de plusieurs séminaires UL. Il fait l’objet d’un chapitre de l’ouvrage (en respectant bien entendu l’anonymat des personnes) et débouche sur un constat paradoxal : la grande majorité des personnes interrogées déclarent être plus heureuses, plus sereines, plus désireuses de vivre que si elles n’avaient pas ce moyen."
( Lire la suite ... )
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Dans le "monde d'après" , notre Ultime Liberté sera-t-elle mieux reconnue par la loi que dans le monde d'avant ?
Deux cas dans l'actualité nous permettent de reposer toujours les mêmes questions :
Communiqué de l'association Ultime Liberté